Au 11eme étage d’un immeuble lyonnais, une terrasse de 120m2 d’un appartement se transforme en jardin contemporain avec des espaces à vivre.
Contre le mur viendra une zone comportant un tsukubai.
Le paysage environnant étant le coeur de la ville avec des immeubles, des palissades d’environ 1,5m de haut sur toute la longueur masqueront les immeubles et encadreront le jardin. Ainsi les arbres et les roches se détacheront aussi bien mieux sur un fond uni.
Lieu d’échange entre le « dedans et le dehors », le Tsuboniwa comporte Eau, Minéral et Végétal, et peut investir l’espace le plus petit.
6m2 de Bonheur sur un balcon : ce petit espace en pleine ville apporte quiétude et plénitude à ses propriétaires en toutes saisons.
Cour intérieure, 20m2
Accueil d’un pavillon 70m2
Au cœur de la ville, ce jardin de 200m2 initialement muré ne proposait pas de perspectives à ses propriétaires.
La surface étant très limitée, le nombre de pierres et de végétaux est essentiel. Il ne s’agit pas d’entasser une grande variété de plantes et de pierres aux couleurs et aux formes extravagantes ; mais plutôt de la recherche d’une scène naturelle, à travers le culte du simple, du brut.
Les deux terrasses, ainsi que les baies vitrées de la salle à manger, de la cuisine et de trois chambres donnent sur ce côté du jardin.
N’ayant pas la place de créer un bassin classique c’est la rivière, elle-même qui va remplir ce rôle. Avec plus d’un mètre de profondeur sur sa totalité et d’une largeur variant 1,5 m à 50 cm le volume d’eau sera d’environ 12 m3. Avec une très grosse filtration et une bonne oxygénation, il peut accueillir une dizaine de « Koi » sans problème.
Le point d’eau appelé tsukubai est aussi une expérience sensorielle qui met en éveil nos cinq sens. Le bruit de l’eau qui chute dans la vasque creusée dans la roche.
D’un point de vue spirituel, c’est un point d’eau pour se rincer les mains, se rafraichir le visage, pratiquer des ablutions afin de se purifier. L’eau sort d’un morceau de bambou taillé, le kakehi, et plonge dans une vasque de pierre naturelle ou taillée , le mizu-bashi.
Le tsukubai est un des lieux principaux du jardin de thé.
Le jardin est source de bonheur et support de rêves. Le jardin recèle 1000 secrets. Il nous rappelle les transformations des quatres saisons.
Offrant, par exemple, la floraison très éphémère des prunus sous la neige qui annonce la fin de l’hiver ou encore des tapis de feuilles ou couleurs flamboyantes à l’approche de l’automne.
Jardin 800m2.
Il s’agit d’un rez de jardin d’un pavillon mitoyen de 100m2.
Plus le temps passe , plus les jardins en portent l’empreinte et acquièrent de la beauté.
Le jardin a surtout besoin de vieillir, chaque élément doit montrer la patine du temps. Il ne faut en aucun cas nettoyer les pierres des lichens ou enlever les mousses des anfractuosités des pavés : ce sont les témoins du temps qui passe.
Cet espace naturel vivant s’embellit avec la patine du temps. Un biotope s’installe, effaçant ainsi la main de l’Homme en restituant l’équilibre naturel.
Un cadre de travail aux bienfaits inconscients.
On peut y faire quelques pas ou s’assoir un instant, mais le plus souvent on le contemple depuis un point fixe, depuis un salon de la maison, d’un point fixe du jardin ou d’un bureau. On s’y promène par la pensée , comme dans un tableau vivant qui changerait au cours des saisons.
Accueil d’un laboratoire , la salle d’attente a vue sur cette partie.
Une boutique qui offre une expérience de shopping unique au cœur de la ville , 40m2.
Un coin bureau apaisant.
D’anciens ateliers en plein centre de Lyon sont transformés en loft. En l’absence de jardin, deux toits prennent un air de montagne avec des forets de cèdres et un mur végétal se fait jardin intérieur.
Plus de vingt espèces de plantes tropicales et subtropicales sont utilisées pour la création de ce mur de 26m2. Il faut attendre une année pour qu’elles s’installent et , si besoin, changer celles qui n’auront pas raciné.
